000 04491nam a22005175i 4500
001 978-2-8178-0037-0
003 DE-He213
005 20140220083738.0
007 cr nn 008mamaa
008 120130s2011 fr | s |||| 0|fre d
020 _a9782817800370
_9978-2-8178-0037-0
024 7 _a10.1007/978-2-8178-0037-0
_2doi
050 4 _aR1
072 7 _aMB
_2bicssc
072 7 _aMED000000
_2bisacsh
082 0 4 _a610
_223
100 1 _aPrugnaud, Jean-Louis.
_eauthor.
245 1 0 _aLes biosimilaires
_h[electronic resource] /
_cby Jean-Louis Prugnaud, Jean-Hugues Trouvin.
264 1 _aParis :
_bSpringer Paris,
_c2011.
300 _aXXIV, 118p.
_bonline resource.
336 _atext
_btxt
_2rdacontent
337 _acomputer
_bc
_2rdamedia
338 _aonline resource
_bcr
_2rdacarrier
347 _atext file
_bPDF
_2rda
520 _aLes médicaments biologiques et biotechnologiques, de par leur origine, la complexité de leur structure moléculaire et de leur profil d’efficacité sont des produits dont la copie est relativement difficile. Or, comme pour les médicaments chimiques, les médicaments biologiques, et notamment les protéines recombinantes arrivées sur le marché au début des années 1990, ne sont plus couverts par leur certificat de protection ouvrant ainsi la possibilité de soumettre des demandes d’AMM pour la même substance active de référence.   C’est pour répondre à cette nouvelle situation que la Commission européenne a élaboré un statut réglementaire dit «médicament biologique similaire à un produit de référence » créant ainsi le concept de «médicaments biosimilaires ». Ce concept repose sur un développement «allégé » du biosimilaire, qui doit établir, au moyen d’études de comparabilité, la similarité de celui-ci avec la référence, en termes de qualité, sécurité et efficacité.   Si pour les médicaments chimiques génériques la substitution s’impose de droit, il n’en est pas de même pour les biosimilaires qui ne sont pas inscrits sur les listes de génériques substituables, car par définition les biosimilaires ne remplissent pas les conditions figurant dans la définition des médicaments génériques. La décision d’interchanger un médicament de référence par son biosimilaire repose sur un acte thérapeutique mettant en jeu le patient et la typologie de sa maladie, les caractéristiques du médicament et les circuits particuliers de distribution de ces produits. De fait, la complexité de la fabrication et les coûts d’investissement pour la commercialisation des biosimilaires ne sont pas du même niveau que pour les génériques. L’ouvrage aborde ici le cadre juridique et réglementaire, analyse le contexte des médicaments de biotechnologie et de biologie, leurs conditions d’enregistrement, apporte des éclairages sur la problématique du post-AMM sans oublier les coûts financiers engendrés qui doivent être discutés.   Il s’adresse en priorité aux médecins prescripteurs et aux pharmaciens hospitaliers, mais aussi à l’ensemble des acteurs de santé désireux de mieux comprendre l’émergence de ces nouveaux médicaments dans la perspective de leur prescription et de leur utilisation.   J.-L. Prugnaud est chef du service pharmacie à l’hôpital Saint-Antoine, membre de la commission d’AMM et spécialiste des produits biologiques et de biotechnologie.   J.-H. Trouvin est professeur des universités et praticien hospitalier (PU-PH) dans les disciplines pharmaceutiques. Il est actuellement conseiller scientifique auprès de l’Afssaps pour les produits biologiques et de biotechnologie. Il préside le groupe de travail européen sur les médicaments biologiques. Tous les deux sont membres de l’Académie nationale de pharmacie.
650 0 _aMedicine.
650 0 _aPharmacy.
650 0 _aEndocrinology.
650 0 _aHematology.
650 0 _aNephrology.
650 0 _aOncology.
650 1 4 _aMedicine & Public Health.
650 2 4 _aMedicine/Public Health, general.
650 2 4 _aPharmacy.
650 2 4 _aOncology.
650 2 4 _aHematology.
650 2 4 _aNephrology.
650 2 4 _aEndocrinology.
700 1 _aTrouvin, Jean-Hugues.
_eauthor.
710 2 _aSpringerLink (Online service)
773 0 _tSpringer eBooks
776 0 8 _iPrinted edition:
_z9782817800363
856 4 0 _uhttp://dx.doi.org/10.1007/978-2-8178-0037-0
912 _aZDB-2-SME
999 _c106528
_d106528